CENTRE D'INTERPRÉTATION DES VOIES FERRÉES: DU RÉEL AU MINIATURE
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Partager pour se cultiver

7/30/2019

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Lectrices et lecteurs, je vous salut! J’ai longtemps pensé à ce que je voulais écrire. Après un long temps de considération, j’ai décidé de vous parler de certaines expériences que j’ai vécues qui, selon moi, doivent être partagé haut et fort. 

Cet hiver fut long et très froid, ce qui est difficile sur le moral. Peu importe le temps de la journée, je savais que même si je m’ennuyais, je serais accueilli de façon chaleureuse chez Guy et Géraldine. Lors de mon voyage dans les Caraïbes, en janvier dernier, j’ai pensé à eux dès mon arrivée à l’hôtel, mes yeux ont accroché sur ce magnifique train en bois fait à la main. On aurait dit qu’il me criait « Joel achète moi! ». Alors je n’aie su résister à la tentation de l’acheter, puis une pièce spéciale à mes yeux s’est ajouté à notre collection. 

Ce sont pour ces raisons qu’il me fait plaisir d’arrêter pendant mes journées de congé pour venir prendre des nouvelles ou même pour faire du bénévolat. Parlant de bénévolat, c’est en passant devant le musée, la semaine dernière, alors que je venais saluer mes collègues, que j’ai constaté que tous les employés étaient occupés par leur propre visite. À ce moment précis, une voiture s’est stationnée derrière dans le stationnement. Comme le dit l’expression; j’ai sauté dans mon rôle de guide/interprète comme un cheveu sur la soupe. Cette journée-là, j’ai fait une visite qui est devenue une de mes visites préférées! Je n’ai même pas pensé si j’étais libre et quelle heure il était, car je travaillais au cinéma en fin de journée. Mais ça en a valu la peine. Ces gens, je les ai revus au cinéma le soir même. Malheureusement, je n’ai pas eu la chance de leur jaser de leur visite et leurs soirées, car, évidemment, je travaillais. 

C’est pourquoi, lorsqu’on me dit que je ne profite pas de mon temps de congé comme je devrais, je réponds que je le passe exactement où je le veux comme il me fait plaisir et c’est avec vous chers invités.
Joel
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Le fort du Grand-Sault

7/28/2019

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Le poste de Grand-Sault fut pour la première fois établi en 1790 et renommé Fort Carleton en honneur du premier lieutenant-gouverneur du Nouveau-Brunswick. 
Durant la guerre d’Aroostook, la région, qui est maintenant la ville de Grand-Sault, était un point stratégique important. Plusieurs régiments y ont résidé, tel que le 43e régiment jusqu’à ce que le régiment soit appelé en renfort durant la rébellion de Papineau. En 1839, un fortin fut construit à Grand-Sault selon certaines sources. À notre connaissance, il n’existe aucune fondation du bâtiment qui pourrait nous indiquer que le fort a réellement existé. Ainsi qu’aucun croquis, plan, dessin ou photo du fort n’existent. Le poste militaire ne fut jamais une fortification officielle.  
En 1839, le poste militaire consistait de 3 cabines de bois ronds qui pouvait accommoder 210 hommes ainsi qu’une maison pour la cuisine et des toilettes extérieures. Plusieurs autres bâtiments s’y trouvaient et le poste était entouré d’une barricade. Le boulevard Broadway à Grand-Sault était l’ancien terrain d’exercice militaire. Le poste donnait une très bonne vue des chutes de Grand-Sault afin de protéger le fleuve Saint-Jean. 

Suite à la signature du traité Webster-Ashburton, la garnison n’était plus nécessaire, car aucun conflit ne menaçait le Madawaska. En 1847, les derniers soldats sont partis du poste. Par la suite, un gardien resta responsable.
Il est cru que l’ancien Meuble Sénéchal était la troisième cabine en bois ronds du temps du poste militaire. Par contre, le bâtiment a brulé en 2010.
Picture
Nous sommes toujours à la recherche de détails concernant les activités militaires dans la région de Grand-Sault ainsi que dans la région de ville Dégelis.  

*Un merci spécial à Mme Madeleine Leclerc de la société historique de Grand-Sault.

Emilie Robinson

RÉFÉRENCES:
https://www.unb.ca/nbmhp-database/victoria-county/points-of-interest/fort-carleton-at-grand-falls.php
https://www.northamericanforts.com/Canada/nb.html#grand
https://www.historicplaces.ca/en/rep-reg/place-lieu.aspx?id=9629
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Une première semaine mouvementée

7/16/2019

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Bonjour, chers lecteurs, je me nomme Édric et je suis la nouvelle recrue de l’été 2019. J’ai commencé mon parcours depuis environ trois semaines. Depuis le début, j’adore mon travail et je partage ma passion de l’histoire, et surtout de l’histoire de la région aux visiteurs du centre. Je vais vous parler de ma première journée de formation, de mes employeurs et de l’équipe d’employés.

Pour débuter, dès ma première journée j’ai été accueilli avec de l’amitié et de la confiance, les propriétaires avaient confiance en mes habiletés de guide/interprète. J’avais le sentiment d’être avec une famille plutôt qu’avec des employeurs et j’ai bien aimé cela. J’ai commencé ma journée assez stressée, le nouvel emploi me faisait peur, mais j’ai fini la journée avec un sourire au visage. Guy et Géraldine ont beaucoup d’amour et de passion à donner. Je n’ai jamais eu des employeurs aussi aimables et admirables comme eux! Depuis trois semaines, j’ai appris a m’attacher à mes collègues de travail et qui sont maintenant une famille à mes yeux. J’ai appris à les accepter et ils ont appris à m’aimer eux aussi. Lors de ma première visite, je trouvais que je n’étais pas prêt et que je n’avais pas assez d’entrainement, mais Guy m’a dit que j’étais prêt et que j’étais capable de faire une visite tout seul. Lorsque je doutais de mes habiletés, Guy a su me pousser et me donner la confiance dont j’avais besoin pour faire la visite! Mes visiteurs ont adoré leur visite et j’étais très fier de ce que j’avais accompli.

Je me suis lancé tête première et cela a valu la peine! Je fais maintenant mes visites tout seul et j’adore partager ma passion et ma culture avec des gens de partout au Canada, et même partout, au monde. J’apprends aussi à vaincre mes peurs et de me donner de nouveaux défis chaque jour. Je prends ça un jour à la fois, mais je sais que l’équipe du centre est toujours là pour m’aider lorsque j’ai le plus besoin d’eux. J’ai hâte de voir ce que l’été me réserve.

À bientôt!

Édric

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La guerre non sanglante d'Aroostook

7/9/2019

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Voici le premier blogue d’une série qui traitera l’histoire de la guerre non sanglante d’Aroostook. 
La guerre non sanglante d’Aroostook est un des conflits les plus notables de la région du Madawaska. Cette guerre opposait les forces britanniques et les forces états-uniennes qui, toutes les deux, réclamaient le territoire du Madawaska. Le traité de Paris n’avait pas bien délimité la frontière de cette région. Le conflit n’a jamais escalader, aucun coup de fusil n’a été tiré, car aucun des deux pays ne voulait mettre en jeu la bonne relation qui avait été forgée durant les dernières années. Par contre, la « guerre » fut vive d’émotions. 
Les deux pays voulaient le territoire riche en pins blancs, un bois prisé. Les États-Uniens voulaient le territoire, car ils devaient construire des navires pour la pêche et pour l’échange qui venaient principalement par la voie maritime. Les Britanniques, eux entre autre, voulaient le territoire, car en 1825 un énorme feu de forêt avait fait ravage au Nouveau-Brunswick et plus de ⅕ de la colonie avait brûlée. Les Britanniques avaient besoin du bois du Madawaska pour rebâtir les villages dans les endroits où le bois était rare. 
La « guerre » fût courte, elle commença en 1838 puis se termina en 1839, par contre, la fin officielle du conflit fût en 1842 lors de la signature du traité Webster-Ashburton. La « guerre » ne fit aucune victime, par contre, une quarantaine d’hommes sont morts dus à l’hypothermie, certains se sont fait attaquer par des ours, d’autres ont eu de graves accidents, mais aucun n’est mort directement en lien au combat. Les forces britanniques ainsi que les forces états-uniennes s’étaient armées de troupes ainsi que de fortifications pour défendre leur « territoire ». Les États-Uniens pour leur part avaient deux forts, un à Fort Kent et l’autre à Fort Fairfield. Les Britanniques avaient quatre postes, le fort du P’tit Sault, le fort du Grand Sault, le fort du Dégelé et le fort Ingall. Ces forts servaient à défendre la route du Portage qui était importante pour le transport militaire, des marchandises et de la poste.

Durant l’hiver 1838, les bûcherons canadiens sont allés couper du bois sur les terres revendiquées par les États-Uniens, les États-Uniens ont répliqué en saisissant l’équipement forestier et les hommes qui se trouvaient dans le territoire disputé. Certains bûcherons britanniques ont entendu parler de ce qui se passait, ils sont par la suite entrés par effraction dans l’arsenal militaire à Woodstock. Par la suite, durant la nuit, ils se sont emparés des agents états-uniens et les ont « interviewer ». Ceci est un exemple du climat des multiples rencontres entre les Britanniques et les États-Uniens. 
Pour plusieurs années, la tension fut haute dans la région. Les Britanniques et les États-Uniens jouaient un jeu, et cachait certaines vérités pour que la frontière qui serait définie aille en leur faveur. En 1842, lorsque le traité Webster-Ashburton fût signé par un représentant de la colonie et un représentant états-unien. Malgré le mécontentement de la part des habitants du Maine et du Madawaska, les frontières fût respecté et les habitants on garder une bonne relation entre eux. 

Dans les prochains blogues de cette série, nous discuterons de l’histoire de différents forts qui ont marqué cette guerre. 
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    Laissez-nous vous raconter aujourd’hui, une histoire vécu autrefois parmi les gens réel qui ont marqué l’histoire du rail.  

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